How does the digital environment help organizing the communication for schizophrenics?

M 3

This hypothesis stipulates that building a digital environment through archiving (organizing information structures and developing communicating/sharing strategies) can help the restitution of a schizophrenic’s communication.

This is the work of a group of researchers from the Faculty of Psychology in Widya Mandala Catholic University in Surabaya in Indonesia. It was presented during the 3rd International Congress of Health Communication in Madrid in Spain on 19 October 2017.

To check the PowerPoint presentation:  https://drive.google.com/open?id=0B0pzbHXvgDK8T3VsYnZMMFpFMTg

To check the video presentation on the Youtube channel of AECS Asociación Española de Comunicación Sanitaria:

Ma première rencontre avec ALTER

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Alter 2017, Lausanne (Switzerland).

 

La rencontre avec Alter, Société Européenne de Recherche sur le Handicap s’est tenue à Lausanne en Suisse dans le cadre d’une Conférence internationale qu’elle a organisé sur le handicap, la reconnaissance et le “vivre ensemble”.

Cette éditorialisation décrit des moments de la rencontre, des présentations scientifiques et des échanges académiques et humains :

https://storify.com/Esmera/ma-premiere-rencontre-avec-alter

Ma première rencontre avec ALTER-Storify-Lausanne, juillet 2017

 

De la réalisation des habitudes de vie à la re-documentarisation des traces : Le numérique pour une “participation sociale en réseaux” des personnes ayant des incapacités psychiques

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Penser la participation sociale de la personne ayant des incapacités à l’ère du numérique conduit à questionner ses habitudes de vie (Fougeyrollas et al., 1998, 2010) et le processus de sa réalisation. Souffrant d’un dysfonctionnement de comportement et perturbée dans son adaptation sociale (Sarfaty, Zribi, 2008), la personne ayant de troubles psychiques se trouve dépendante dans ses activités courantes et rôles sociaux de ses accompagnateurs. Comment ces derniers appréhendent-ils sa participation sociale ? Que disent-ils du numérique ? Comment la culture numérique (Doueihi, 2011) pourrait-elle favoriser cette démarche et quels changements apporterait-elle ? Peut-on parler de nouvelles habitudes de vie numériques dans un environnement de traces (Mille, 2013) ? Nous interrogeons sur ces questions, un groupe de personnes appartenant à la « fleur relationnelle » (Colloc, Léry, 2008) des personnes ayant des incapacités psychiques à Rio Branco (Acre) au Brésil en 2016. Notre approche méthodologique est qualitative. Elle comprend un questionnaire et des entretiens semi-directifs. L’analyse thématique de contenu montre la difficulté des accompagnateurs de définir la participation sociale comme processus. De plus ils l’associent à des pratiques citoyennes et à des activités numériques collaboratives. Nous proposons un modèle de “participation sociale en réseaux” pour achever une présence numérique (Merzeau, 2010) active. A cette finalité, nous soulignons l’importance de mettre sur pied une translittératie (Merzeau, 2014) qui habilite le pouvoir individuel et collectif des personnes ayant des incapacités psychiques d’agir sur leur environnement. Nous appelons également à l’appropriation des traces numériques dans de contributions mémorielles et à la re-documentarisation (Salaün, 2007) de contenus. L’objectif est l’organisation des habitudes de vie numériques sous forme de reconstruction des ressources et d’archivage permettant une expérience partagée.

Ce travail fut présenté dans la Conférence Handicap, Reconnaissance et “Vivre ensemble”. Diversité des pratiques et pluralité des valeurs, organisée par la Société Européenne de Recherche sur le Handicap (ALTER) à l’Université de Lausanne en Suisse les 6 et 7 juillet 2017.

Programme complet de la conférence.

Voir le support de la présentation : https://drive.google.com/open?id=0B0pzbHXvgDK8US02T0NFYW8xdEE